PERSONNALITES ah! ah! ...

Il est des personnalités, des individus, des dirigeants dont le destin semble ne pas pouvoir se dérouler conformément aux règles généralement établies et admises dans leur propre pays, ou ailleurs.

Ainsi en est-il du Président PLATINI et de l'ancien Président SARKHOZY dont les noms apparaîssent dans les "affaires" de pots de vie (et autres appellations) versés par le Quatar pour l'obtention de la coupe du monde de foot de 2022.

Bien entendu, les intéressés démentent, comme à chaque fois. Il est vrai que leur passé plaide pour leur bonne foi et leur intégrité morale.

Après les déclarations de PLATOCHE il y a quelques semaines sur les mouvement sociaux protestataires brésiliens sommés d'attendre la fin des réjouissances des fouteux et ses excuses minables après coup ainsi que la tentative de fraude de SARKHOZY à propos des frais de campagne électorale sanctionnés par ses amis du Conseil Constitutionnel, on est effectivement enclins à les croire ...

C'est oublier néanmoins, pour le premier, la Caisse noire de Saint-Etienne dans laquelle le Président de la Fifa a pioché en son temps avec la duplicité/complicité du Président du Club des Verts Roger ROCHER. Quant à SARKO, la liste de ses magouilles est trop longue et je crains d'en oublier. De Mme BETTANCOURT à Karachi, en passant par KADHAFI, le magistrat corrompu de la Cour de Cassation, les écoutes/confidences de son Conseiller rapportées par Médiapart sans oublier les meetings bidons organisés par Bygmalion alors que ses sympathisants récoltaient onze millions d'euros pour rembourser les banques et que les "ténors" de l'UMP se sucraient au travers de séminaires/conférences inexistantes, le tout sans régler pour autant l'état catastrophique des finances de l'UMP, "de facto" en faillitte.

Et nous voilà, à notre tour sommés d'écouter Brice HORTEFEUX battre le rappel et nous refaire le coup du sauveur indispensable à la Présidence de l'UMP. Il a seulement oublié d'amener son karcher pour, d'un coup, balayer la racaille qu'il veut nous vanter et dont, semble t-il d'après les récents sondages, les Français non plus ne veulent plus.